Tout était si beau, si parfait.J'étais heureuse et sans crainte puisque ma vie d'avant était celle que j'avais toujours voulu avoir.Maintenant, tout est fichu, je me sens abandonnée, vaincue. Je n'aurais jamais pensé qu'un tel événement aurait pu arriver au sein du Clan du Tonnerre, ainsi que dans tous les autres. Nos enfants, nos parents, nos amis et même nos ennemis ne sont plus. Nous sommes rendus si peu.
La maladie, quoi de pire. Qu'avons bien fait au Clan des Étoiles pour mériter un sortilège pareil ? Peut-être les bipèdes sont trop puissant et ont détruit nos ancêtres aussi ? Non, je n'espère que le contraire, je ne peux imaginer une tel chose. C'est cette espèce de gros habitat pour ces monstres qu'ils ont construit il y a quelques jours de cela.Le dégagement de fumé a causé l'asphyxie de la plupart d'entre nous.Et une bonne partie on fuit pour retrouver l'air pure d'avant.D'autre ont décampé je-ne-sais-trop-où en amenant leur famille avec eux. En tant que membre fidèle du clan, j'ai eu le courage de rester pour ceux qui n'avait pas la bravoure de partir seul et pour le reste qui était soit trop jeune, soit trop vieux.Certains membres de d'autres clans se sont joint à nous,comme celui du Vent et de la Rivière.Nul de sait où est passé le Clan de l'Ombre.Leur orgueil les ont peut-être battu. Maintenant nous ne sommes qu'un petit groupe de survivants qui sont sur le point de s'exiler.Nous forcer à quitter nos terres de cette manière est une vraie torture. Quand nous n'avons aucun autres choix possibles, quoi faire d'autre ?
Je m'assis près du Grand Érable et me remémorant tous les bons souvenirs au côté des miens.Jamais plus je ne les reverrai. Pourquoi suis-je encore de ce monde ? Pour me faire souffrir encore plus ? Je n'y comprend rien. Je n'ai que le goût de m'enfoncer sous terres pour y rester à jamais.
Le soleil est sur le point de se cacher et nous offre un spectaculaire spectacle remplit de couleur, qui envahit le ciel d'une teinte orangé.Peut-être serait-il le temps de rentrer au camp temporaire, l'une de mes bonnes amies m'y attend.
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